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Un manager a forcé une serveuse à servir des restes à un client étranger, la vie lui a immédiatement donné une leçon – Histoire du jour

« Whoa, whoa, whoa, attendez ! », dit-il, la voix huileuse. « C’est… c’est beaucoup d’argent que vous avez là, mon pote ! »

Louise regardait, l’estomac noué, Andy tisser une toile de mensonges pour garder Higashi et son argent. Il promettait un meilleur repas et une expérience luxueuse, mais Louise savait que ce n’était qu’une ruse. Andy a poussé le billet de cent dollars dans la main de Louise, la forçant à participer à sa mascarade.

La situation devenait incontrôlable. Louise devait trouver un moyen de protéger Higashi, son travail et sa propre morale. Mais devant le désespoir grandissant d’Andy, elle ne savait pas trop quoi faire ensuite.

***

Le visage d’Higashi se couvrit de soulagement tandis qu’il examinait les plats fumants qu’Andy lui présentait. L’arôme du saumon grillé et du poulet teriyaki emplissait l’air, loin du steak froid et réchauffé. Une bouteille de saké, dont l’élégante étiquette évoquait son pays d’origine, complétait ce festin inattendu.
À des fins d’illustration uniquement | Source : YouTube / DramatizeMe

« Gratuit pour notre cher invité ! », déclara Andy, sa voix dégoulinant d’une fausse joie. « Un gage de notre reconnaissance ! »

Higashi cligna des yeux. « Gratuit ? », demanda-t-il.

« Absolument ! », déclara Andy en fanfare. « Pas un centime de votre poche, mon ami. »

Alors qu’Andy saisissait une délicate coupe de saké pour la verser, sa main tressaillit, projetant une giclée d’alcool de riz sur le pardessus immaculé de Higashi.

« Oh, non ! », s’exclama Andy, dont le visage se plissa en signe d’excuse. « Je suis vraiment désolé, mon ami. Ne vous inquiétez pas, je vais le nettoyer en un clin d’œil. Nous avons des services de nettoyage à sec de premier ordre ici. »

Il tendit la main vers le manteau, mais Higashi recula, serrant fermement le vêtement.

« Non… d’accord », balbutia-t-il. « C’est bon ! D’accord ! »

« On ne peut pas vous laisser vous promener avec un vêtement taché. Allez, laissez-moi m’occuper de ça », insista Andy.

Il s’élança à nouveau vers le pardessus, ses mouvements étant agressifs. Voyant la lutte, Louise intervint.

« M. Miller, arrêtez ! », s’exclama-t-elle. « Le manteau va sécher tout seul. »

« Tais-toi, ma fille ! », Siffla Andy. « Ce n’est pas ton problème ! »

Avant que Louise ne puisse réagir davantage, Andy arracha le manteau des mains de Higashi et disparut par une porte battante portant l’inscription « Personnel seulement ». Higashi le suivit des yeux, son trouble se transformant en inquiétude.

Louise sentit un nœud d’effroi se resserrer dans son estomac. Sans hésiter, elle quitta la table et se lança à sa poursuite.

À l’intérieur de la pièce, Andy vida les poches du pardessus de Higashi. Il fut choqué de voir qu’il en sortait des liasses de billets.

« Qu’est-ce que vous faites ? », dit Louise en l’interpellant. « C’est illégal. Vous ne pouvez pas lui voler son argent ! »

« Va dehors ! », hurla Andy.

« Et ne t’inquiète pas pour ça. Tout est sous contrôle. Tu sais que cet argent peut changer nos vies. »

« Non, M. Miller. Vous devriez remettre cet argent », dit Louise.

« Tu es sérieuse ? C’est l’occasion de changer de vie, Louise ! », s’exclama Andy. « Allez, prends cet argent ! »

« Non, je ne veux pas ! », protesta Louise.

« Il ne saura même pas que nous lui avons pris cet argent. Ce Samouraï Jack a beaucoup d’argent. C’est un homme riche. Quelques dollars manquants ne feront pas de différence. Fais-moi confiance, Louise. Prends cet argent ! », dit Andy en tendant une liasse de billets à Louise.

Se sentant contrainte, elle prend l’argent. « D’accord, je le prends », dit-elle.

« C’est ça ! », applaudit Andy. « Assure-toi qu’il finisse rapidement son repas, d’accord ? Je vais aller faire réparer ce pardessus. »

Dès qu’Andy quitta la salle du personnel, Louise s’arracha immédiatement une épingle à cheveux et ouvrit le casier d’Andy. Elle ne pouvait pas le laisser garder l’argent volé. Elle voulait lui rendre tout l’argent de Higashi.

***

« Excusez-moi, monsieur ? », Louise se précipita vers la table. Elle prit ensuite une grande inspiration et tendit les liasses de billets. « Prenez ceci, s’il vous plaît. C’est votre argent. Prenez-le. »

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